Des contenus culturels optimisés afin d’augmenter votre visibilité

Rédactrice web SEO et docteure en archéologie, je peux vous aider à valoriser vos écrits.

Ma particularité ? Je rédige tous vos contenus culturels afin qu’ils plaisent aux moteurs de recherche !

Comment ? En les optimisant ! C’est-à-dire en les rendant visibles des algorithmes et donc, de vos visiteurs.

Vous vous demandez pourquoi me faire confiance et comment je suis passée de l’archéologie – muséologie à la communication culturelle ?

Voici mon histoire

Un parcours atypique, à mon image

Ma vie de dyslexique

Les bonnes fées se sont trompées de formule magique lorsqu’elles se sont penchées sur mon berceau : dyslexie (il m’a fallu bien des années pour l’écrire correctement), dyscalculie, dyspraxie. Ma scolarité a été un long chemin de croix.

Pour m’évader, j’invente des histoires. En fin d’année de 5e, définitivement inadaptée à l’école de la République, j’intègre un CAP « employé des services administratif et commercial », au lycée professionnel de Fresnes (Val-de-Marne).

Pourquoi cette filière ? Parce que mes parents, à l’époque, sont tous les deux comptables. Mon parcours demeure tout tracé : comptable comme maman et papa !

D’astronome à écrivaine en herbe… Je cherche ma voie

Ma scolarité ne brille pas, mais j’ai repris confiance en moi…

Je veux, moi aussi, apporter une pierre au grand édifice de la vie.

Si ma filière ne me plaît pas, je m’accroche et je persévère (mon leitmotiv).

En parallèle de mes études, je me passionne pour l’astronomie.

Je passe tous mes samedis à la bibliothèque. Ma mère m’a initiée très jeune au plaisir de la lecture.

Je découvre les livres de Philippe Ebly en bibliothèque verte.

C’est LA révélation. Il existe des mondes merveilleux où la différence est la norme.

Et si c’était l’archéologie ?

Outre mes journaux intimes où je m’invente mille identités, je noircis des cahiers d’histoires : fantasy, fantastique, science-fiction… Je dessine aussi des bandes dessinées.

Je découvre en 1978 la série d’animation française, Il était une fois l’homme. La mort de Maestro à l’époque de Néandertal restera longtemps ancrée dans ma mémoire : le germe d’un intérêt pour l’archéologie funéraire.

À 16 ans, je découvre la revue Archéologia. C’est une deuxième révélation. Je ne serai plus écrivaine, mais archéologue !

Je persuade mes parents de participer à mon premier chantier de fouille. Une nécropole protohistorique à Bazoches-les-Bray (Seine-et-Marne). Ma première sépulture ! Je décide d’aller au bout de mon rêve. Je tente l’université. Je serai admise en Histoire de l’art, option archéologie à Paris I. Le début d’une formidable aventure…

Mais également la documentation ?

Je choisis l’archéologie gallo-romaine comme période historique et je me spécialise en anthropologie. Je n’ai jamais oublié que l’homme de Néandertal enterrait ses morts… merci Maestro !

Je gravis tous les échelons de l’université, moi, l’enfant inadaptée… Ma première revanche !

En plus de l’archéologie, j’intègre un master des Sciences de la documentation et de l’information à Paris VIII (iconographie et bases de données).

Si je n’ai pas fait l’École du Louvre (j’avais pourtant été acceptée), je travaillerai dans un musée quelques années plus tard et j’apprendrai la muséologie.

Mes années de thèse s’allongent. Mais les contes de fées ne se terminent-ils pas toujours bien ? Souvenez-vous de mes marraines penchées sur mon berceau. Elles ont enfin prononcé la bonne formule magique… Enfin !

Pour finir par la rédaction de contenus culturels optimisés

Durant mes années de doctorat, je n’oublie pas l’écriture.

Comme tout bon chercheur, je rédige des articles scientifiques à défaut de romans.

Une fois ma thèse soutenue (2012), je me forme à l’écriture avec les ateliers d’Élisabeth Bing.

Puis avec le programme de M.-A. Carrara, dont je suis assidûment le blog.

Je m’inscris à des concours de nouvelles et au Nanowrimo. Ce dernier me permet d’écrire mes premiers romans.

Ma créativité retrouvée, je décide de changer de voie.

Je retourne à ma première passion : l’écriture.

Je décide de me former. Je reprends toutes les bases de français avec le Projet Voltaire.

J’apprends le métier de correctrice (École des métiers de l’information).

Pour passer ensuite à la biographie (Stardust, Masterclass).

Mais ce n’est pas terminé !

Je me forme à la rédaction web SEO (Formation rédaction web, Lucie Rondelet).

Puis ensuite au référencement (Réferenceo). Pour terminer par le copywriting (Maketing Mania).

Une nouvelle vocation est née !

Mais pourquoi rédactrice web spécialisée en culture ?

Mes années dans la fonction publique comme gestionnaire de collections

De 2002 à 2023, je suis chargée du récolement des collections. Je suis un agent récoleur comme on nous appelle parfois.

Mes employeurs ? Le ministère de la Culture et la Commission de récolements des dépôts d’œuvre d’art (CRDOA). Celle-ci nous déploie dans des musées nationaux (établissement public ou service à compétence nationale). Je passe ainsi quinze années au Musée d’archéologie nationale, à Saint-Germain-en-Laye. J’y apprendrai mon métier grâce notamment à Hélène Chew, conservatrice en chef du département gallo-romain.

Mon travail ? Inventorier les collections déposées par mon organisme dans les institutions dépositaires (musées, mairies, préfectures…). Je cherche, je recense, je mesure, je photographie, j’émets des préconisations sur la conservation des biens culturels et je rédige (conventions de dépôts et rapports).

J’ai donc eu la chance d’aider de nombreux musées en art et archéologie, en France et à l’étranger.

À savoir sur moi ?

✅ Je suis fan de SF et de fantasy.

✅ Je distribuais Pif Gadget pendant que mon père vendait L’Humanité, le journal des “cocos”.

✅ Je suis d’origine polonaise par ma mère et catalane par mon père.

✅ Je fais partie de la secte des boubous, comprenez des bouledogues français. J’en possède deux.

✅ Mon arrière-grand-mère s’appelait Anastazia. Elle habitait à Minsk, Biélorussie.

✅ Je suis autrice avec un livre en cours de correction (Le royaume d’Ysor)

Mes valeurs

✅ Pugnacité (ma devise, tomber sept fois, se relever huit).

✅ autonomie

✅ curiosité (insatiable, j’adore apprendre)

✅ Transmission (pourquoi apprendre sans partage ?)

🏛️ La Commission de récolements des dépôts d’œuvre d’art, à Paris (CRDOA) ;
🏛️ Le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye ;
🏛️ Le Centre national des arts plastiques, à La Défense (CNAP) ;
🏛️Le Centre des monuments nationaux, à Paris (CMN) ;
🏛️ Et enfin le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines, à Marseille (Drassm). content.

Patrimoine archéologique (Préhistoire, Antiquité, Moyen Âge, jusqu’à l’époque contemporaine).

Archéologie préventive.

Patrimoine naturel.

Muséologie (exposition et valorisation).

Monuments historiques.

Musées des beaux-arts.

Collections patrimoniales : beaux-arts, peinture, sculpture, photographie, arts vivants, archives, monuments, sites historiques.

Patrimoine immatériel (savoir-faire traditionnel).

Mais je sais m’adapter à toutes les demandes. Mes autres passions ? L’écologie, dont la RSE, la documentation et l’éducation.